jeudi 15 décembre 2016

CR CA du 14 décembre


Un an, un an exactement de non rédaction de joyeux compte-rendu de Conseil d’Administration (CA). La flemme mais aussi un manque d’inventivité face à un conseil aseptisé. Mais la trêve est terminée. Allons-y.
Monseigneur Manu 1er, roi des serfs de l'université de Bordeaux, ouvre donc comme à l’accoutumée la séance en revenant sur la visite récente de notre cher policier-urgentiste de premier ministre. En effet, ce dernier a signé une convention « IDEX » pactole de 700 millions d’euros. Par contre, le pognon n’est pas véritablement pour de suite. Passons.
Ce CA est celui du vote du « budget initial 2017 », nous pouvons donc nous attendre à une contestation, chers lecteurs. Monseigneur Manu 1er, roi des serfs de l'université de Bordeaux, présente donc ce budget en légère hausse et qui est équilibré ce qui lui fait dire que cela est « satisfaisant mais sans plus » car du fait des contraintes les initiatives sont limitées. Nous buvons les paroles résignées du sage. Nous avons droit à de multiples explications de construction budgétaire et d’arbitrage financier. Rien n’est choquant si l’on accepte la position de gestionnaire de misère. Néanmoins, d’un autre point de vue -le nôtre, chers comparses- nous pouvons être dépités face à cette résignation des instances ne menant plus de lutte politique pour réhabiliter l’enseignement supérieur. Notre bon seigneur explique que la masse salariale est en quelque sorte « un caillou dans la chaussure » du fait du « GVT » (le glissement vieillesse technicité) qui est l’augmentation automatique des fonctionnaires avec l’ancienneté.
Nous commençons à nous endormir bien que la présentation soit pédagogique. Et là ? Le délégué CGT lève la main, on s’attend à des remous car si le budget est globalement constant (d’un point de vue macro) les conditions des salariés et des étudiants ne vont pas en s’améliorant. Nous attendons la première charge… Finalement, nous l’attendons toujours. En effet, lors de son monologue ce dernier explique que ce n’est pas la joie bien au contraire mais comme le « dialogue social » est bon, « on ne va pas s’opposer mais s’abstenir »… Mon dépit est à son apogée.
A cet instant, je me dis que la fin du conseil va être longue et douloureuse. Je regarde à ma droite et observe la main du brigadier Wagner (le chevalier d’Inter’assos), je me dis que le supplice va encore s’alourdir. Mais coup de théâtre celui-ci attaque la présidence et notamment des positions vis-à-vis du Collège Santé (dont il est issu). Après une présentation longue et claire, le brigadier Wagner s’attire les foudres de Monseigneur Manu 1er, roi des serfs de l'université de Bordeaux. Ce dernier attaque à plusieurs reprises la gouvernance de ce Collège qui ferait bien mieux d’opter pour le dialogue interne à l’étalage sur la place publique. Le brigadier ne se démonte pas et estime « qu’il faut faire plus de pédagogie dans l’explication des choix car le mécontentement monte ou tout du moins l’incompréhension ». A ce moment-là je me rappelle quand je demandais au Sieur Grard (directeur du Collège DSPEG) de faire un référendum interne pour quitter l’Université de Bordeaux. Ce que nous pouvons retenir de la pique du brigadier Wagner et de la colère présidentielle face à son Collège de cœur et surtout l’intervention de professeurs tels que Combeau à l’attitude des plus condescendantes avec cet élu étudiant dans un calme général.
Reconnaissant au brigadier Wagner qui, sur un ton policé et sans trop se mouiller, essaye de défendre sa patrie, aura au moins eu le mérite d’animer un peu ce terne CA. Pour toi brigadier, monte le son : https://www.youtube.com/watch?v=RQOWRSwy_8A
Dépité par la résignation généralisée, je décide de faire une remarque pour mettre en avant le fait qu’à « budget constant, la qualité des diplômes diminue » (suppression de td, de td de langues, de matières, des plaquettes de td papiers etc…). Monseigneur Manu 1er, roi des serfs de l'université de Bordeaux, me répond que l’on ne peut énoncer ça d’une telle sorte mais qu’il va prochainement se pencher sur la question à l’aide de critères objectifs ; à bon entendeur.
Hormis cela, rien de merveilleux, alors passons aux résultats du vote : 5 contre (dont OSB IV et l’Unef dont j’avais la procuration), 5 abstentions (inter’assos et CGT) et 22 pour. Youhou.
Pour le reste du CA, il n’y a rien de merveilleux à ajouter, hormis que la situation de l’ESPE est toujours catastrophique (notamment des personnels en souffrance et des cours qui ne se tiennent pas toujours) et que l’Université a toujours tendance à faire une belle politique de l’autruche.

jeudi 7 juillet 2016

Compte rendu du CFVU du 30 juin 2016

Alors que l'UNEF n'était pas présent durant le conseil, ce sont 2 étudiants d'Inter'Asso qui ont été élu à la commission de recours pour les périodes de césure par le CFVU. Cette commission sera compétente afin d'étudier le dossier  des étudiants ayant fait un recours lorsque l'Université de Bordeaux a refusé sa période de césure.

Il y aura une sélection entre le M1 et le M2 pour les masters de :
-Droit de la propriété intellectuelle
-Droit de la santé
-Droit des affaires
-Droit européen
-Droit international
-Droit notarial
-Droit pénal et sciences criminelles
-Droit privé
-Droit public
-Droit social
-Histoire du droit et des institutions
-Justice, procès et procédures
-Science politique
-Psychologie

Pour tous les autres masters il n'y aura pas de sélection entre le M1 et le M2 si l'étudiant a fait son M1 à l'Université de Bordeaux
Les dates de dépôt des dossiers étaient du 23/05/2016 au 10/06/2016


Nous avons également dû voter en conseil la charte des diplômes délocalisés. Ces diplômes sont des diplômes secondaires de l'Université de Bordeaux, coutant plus chers et s'effectuant avec des partenariats privés puisque l'UB n'a plus les moyens de créer de nouvelles offres de formation. Achille Braquelaire (président du CFVU) tenait à souligner que ces diplômes permettent de former des étudiants aux besoins locaux et qu'ils participeront au rayonnement de l'UB à l'échelle européenne.
Même si ces diplômes peuvent apporter des formations de meilleurs qualité que celles de la fac (les conditions se dégradant davantage, ce n'est pas difficile de faire mieux), ils ne seront réservés qu'aux étudiants les plus aisés ce qui renforcera d'autant plus l'inégalité de classe entre les étudiants  (futurs "acteurs du monde professionnel").

Quelques avancés suite aux coups de gueule de nos camarades doctorants: la 8ème année de thèse pourra être  exceptionnellement exonérée suite à un contrôle du dossier du thèsares qui demande l'exonération. La dernière commission permettant de demander ce remboursement des frais de scolarité se fera en janvier: restez sur le qui vive!
Aussi, les Diplômes Universitaires ne pourront pas être exonérés.

Concernant la rentrée scolaire: toute l'inscription est devenu dématérialisée, l'étudiant pourra venir à l'université seulement pour récupérer sa carte étudiante s'il a au préalable réalisé l'inscription sur Internet.
Pour les étudiants n'ayant pas accès à Internet il est toujours possible de s'inscrire physiquement en totalité. La dernière date pour effectuer son inscription est annoncée au 8 octobre. (ouverture du web le 7 juillet pour les inscriptions)

La sécurité sociale étudiante se verra généralisée aux étudiants: plus possible d'avoir la qualité d'ayant droit: vous aurez comme tout le monde un numéro de sécu étudiante. Il y a trois jours mon dentiste m'a pourtant dit que les sécurités sociales étudiantes étaient beaucoup plus défectueuses que celles de vos parents. Va falloir pas trop abuser du médecin maintenant...


Autre précision: pour être reconnu étudiant salarié il faut avoir un contrat couvrant l'année universitaire (1er septembre au 31 août) et un minimum de 150h de travail sur 90 jours. Si le contrat de travail est rompue, une affiliation du statut est possible.




lundi 1 février 2016

Compte-rendu du Conseil de faculté Droit-Sciences Politique (26 janvier 2016)


Compte-rendu du Conseil de Faculté
(Droit et Sciences Politiques)
du 26 janvier 2016

              La joyeuse compagnie a souhaité réviser les statuts du Conseil de Faculté de droit et sciences politiques. Ce passage en force s’est vu reporté en raison d’incohérences dans les dispositions. Le Conseil a souligné l’importance de la transmission au moins 5 jours avant la réunion, lui permettant d’étudier en détail les dossiers soumis. Dossiers cachant souvent des imperfections aux bénéfices de la direction…          
             Le système de DU, dont OSB IV s’est par principe toujours opposé en raison de son caractère inégalitaire, a été élargie avec l’adoption par le Conseil du DU « Défense et Industrie ». La compagnie nous a ‘rassurer’ en assurant qu’il s’agissait d’un essai avant de le créditer en Master. Mais bien sûr…
 
              Au-delà, l’accréditation de la nouvelle offre de formation pour la Licence a été adoptée ! Le règlement régissant la Licence a été modifié en supprimant le terme « en principe » relativement à la tenue des sessions de rattrapage.
              Pour la L1, la maquette a été adoptée dans sa totalité. Les modalités d’examens sont caractérisées par une forte dose de contrôle continu et de QCM pour les matières facultatives. Une salve d’examens auront lieu en milieu de chaque semestre. Nous veillerons au grain quant aux modalités pour les étudiants-salariés
              Pour la L2, la maquette a été adoptée sous réserve de corriger l’omission des options sportives et linguistiques. Les rythmes universitaires sont susceptibles d’évolué. Mais que devient le passage aux plages de cours d’1H30 ?
              Pour la L3, la maquette a été adoptée, toujours sous réserve de corriger l’omission dans certaines maquettes des options. En réalité, les parcours en L3 sont inutiles puisque l’ensemble des cours sont mutualisés. Ils permettent juste de choisir ses matières et ses coefficients (comme dans l’ancien système), sauf que le diplôme mentionnera la pré-spécialisation… En effet, si on regarde bien, on peut aussi bien faire le parcours « Judiciaire » ou « Droit privé » et prendre les mêmes cours, avec les mêmes coefficients.
 
              Sur l'épineuse question des plaquettes de TD payantes, l'équipe décanales avait déjà tranchée après concertation. Suppression progressive! Encore une avancée sociale pour les étudiants...
          

dimanche 24 janvier 2016

CR CAC du 21 janvier 2016 (n°2)

Dans ce court conseil académique du jeudi 21 janvier 2016, l'ensemble du conseil a du se prononcer sur l'évolution des profils de recrutement des enseignants chercheurs.
La plupart des profils de recrutement ont été acceptés par la présidence, exceptés deux (en sociologie) qui seront donc pour les recrutements de 2017.
On remarque qu'un accord a donc été trouvé pour la description des profils en droit et science politique, ce qui ne nous semblait pas gagné d'avance.

De plus une initiative lancée par le conseil académique sur le contrôle des potentiels conflits d'intérêt entre la vie des enseignants extérieurs à l'université et la qualité de leur enseignement et de leur recherche a fait son apparition, mais la présidence relativise cette initiative en  considérant que le contrôle serait trop dur à faire pour qu'on s'y penche pleinement.

Enfin, deux points sur le sujet des profils d'enseignants chercheurs ont été mis en lumière:
-certains professeurs se sont plaint de l'incohérence entre la demande de l'UB aux professeurs de se spécialiser dans une matière et sa requête d'interdisciplinarité qui demande des qualités générales.

-plusieurs postes seront attribués via des concours à l'initiative de l'utilisation de l'article 46-1. Or l'an dernier ces concours étaient jugés trop sélectifs par rapport aux qualités demandées et à la demande d'emploi. Qu'en sera-t-il de cette année?

CR CFVU du 14 janvier 2016 (n°1)

Dans ce premier conseil de formation et de la vie étudiante de l'année (et le tout premier pour ma part) nous avons dû nous exprimer sur le choix des membres de la commission FSDIE, celle qui délibère sur les budgets alloués aux projets universitaires (notamment ceux des associations étudiantes).

Malgré notre forte activité dans la vie culturelle de l'université et l'augmentation de la proportion du nombre de voix pour OSB IV aux dernières élections l'opposition a été sévère de la part des associations étudiantes concernant la place que nous devions occuper dans la section FSDIE.

Contrairement à l'inactivité associative remarquable de l'UNEF, d'Inter'asso et de l'UNI sur l'Université de Bordeaux, OSB IV a sût sur ces deux dernières années (et les prochaines qui suivront) proposer un nombre important de projet. Nous sommes donc légitimes d'avoir accès à une place suffisamment importante en FSDIE pour nous laisser des capacités d'action, me diriez-vous?

Et bien non, pas pour le reste des associations étudiantes. Les "cochons" de l'UNEF et d'Inter'Asso ont préféré se sécuriser un nombre important de places au sein du FSDIE (alors qu'ils ne peuvent assurément pas l'exploiter) au regard du nombre important de voix qu'ils ont eu sur l'UB aux dernières élections centrales.

Vous l'aurez compris, notre engagement et volonté d'action concernant la réappropriation du campus par les étudiants va devoir se faire entendre dans des discours tranchants au sein des conseils.

Nous sommes donc titulaires 2 postes: la section FSDIE centrale pour le CFVU et la section FSDIE de Pessac pour le CA.

Ces "opportunistes" n'ont même pas pu nous laisser la section FSDIE de Pessac pour le CFVU alors qu'OSB IV finit 2° après l'UNEF et loin devant Inter'cradoss; je pense qu'il est en plus évidant que leur présence sur les projets universitaire légitime leur place de titulaire sur Pessac ( it's a trap).
Enfin, ne soyons pas trop pessimiste puisque la vaseline a gentiment été offerte pour toute l'équipe.

Vient ensuite le bilan de la FSDIE pour 2015.

On remarque que la quasi totalité des fonds de la FSDIE a été utilisé (91,5% soit 487 000 euros). 70% revenaient aux projets et 30% à l'aide sociale.

189 projets étudiants ont vu le jour cette année pour un montant moyen de 9000 euros par projet.
On remarque qu'à Pessac une grosse part des fonds ont été utilisés pour la culture scientifique et technique et que 67% des projets culturels ont été décidés à la commission centrale. On a vu une augmentation du nombre d'appel à l'aide sociale (avec une part très importante provenant du campus de Pessac), pourtant le nombre de réponses positives à ces appels ont stagné.

Le montant du budget de l'année 2016 n'est pas encore fixé, mais ils comptent l'évaluer en proportion du nombre d'étudiant inscrits prévus pour l'année (et quand on voit que leur estimation du nombre d'étudiant se traduit par des amphi et classes de TD bondés, on peut s'imaginer que là aussi le budget sera moindre que celui qui répond réellement aux besoins de ces nombreux étudiants "oubliés").

Deux projets ont été votés et acceptés en conseil.

Le premier consister à proposer une intégration (sociale et universitaire) aux étudiants "venus d'ailleurs" (étudiants étrangers, néo bacheliers...)  avec notamment des initiatives des services et des étudiants sur les dispositifs d'accueil. Concrètement cela se traduit par des accueils aux aéroports/gares par les étudiants (Kedge en début d'année?), des réunions de rentrée, des sorties permettant de visiter le territoire local, l'organisation de job-dating permettant de se construire par rapport au marché du travail local (on perd pas le Nord).

On remarque qu'il est expressément proposé que les nouveaux arrivants soit intégrés via des systèmes de parrainage (de quoi faire le bonheur d'Inter Asso).

De plus, quand on demande s'il ne serait pas intéressant d’amoindrir la violence de l'intégration à un environnement totalement nouveaux pour les étudiants étrangers (avec par exemple des temps et espaces leur permettant de sauver une part de leur culture au sein de l'université), Achille nous répond gaiement que cette initiative ne doit pas venir de l'université mais d'acteurs extérieurs.
Coût du projet : 208 500 euros.

Le deuxième projet porte sur l'innovation des bibliothèque dans le domaine numérique.

En pratique une équipe de recherche accompagnerait les étudiants pour développer leur capacité de recherche, d'utilisation et de connaissance des ressources bibliothèques.
Une mise en contact dès la première année à l'université ainsi que la mise à disposition de tablettes interactives (comprenant tutoriels et jeux éducatifs) seraient à dispositions des étudiants.
Il est critiquable que sociologiquement se soit les étudiants les plus enrichies (culturellement et financièrement) qui se tourneront en autonomie vers les tablettes en libre disposition, élargissant alors les inégalités avec les étudiants les plus pauvres. Il va falloir savoir comment aller chercher ces étudiants afin de faciliter leur réussite universitaire.

Dans le cadre de conventions internationales
de nombreux masters internationaux ont été acceptés durant le conseil: Maroc, Pérou, Québec, Corée du Sud, Pologne, Espagne, Grèce, Serbie; ainsi qu'un partenariat de l'Université de Bordeaux avec la Belgique et la Slovénie.

Nous avons abordé la question de l'évaluation des enseignants par leur étudiants afin de déclencher des boucles de rétroaction. Deux rétroactions sont envisagées : sur les services de l'UB et sur l'offre pédagogique.

Des problèmes liés tels que celui de la confidentialité des votants ainsi que des professeurs visés, la non diffusion des réponse avant leur traitement par l'équipe pédagogique, l'efficacité des boucles de rétroaction malgré l'anonymat vont être traités par le groupe de travail et des réponses seront donnés aux prochains CFVU.

Le projet devrait être validé pour mars 2016.

vendredi 8 janvier 2016

Concert OSB IV : samedi 29 janvier ! Tous à la MAC !

 En cette période de fin d’exams, OSB IV reprend la MAC à son compte pour un concert exceptionnel !
Dès 19h00, la soirée commence avec un Open-mic, suivi d’un concert de R-ash (multiple champion DMC) avec Nikus Pokus (ex-Svinkels). Puis les locaux d’Afro Social Club et Resaka Sonora viendront clôturer la soirée en beauté.

Ca va faire du bruit, arrive à l’heure !
(!) Entrée gratuite avant 20h30 (!) puis 3€. Début de Nikus Pokus à l’heure (20h55 !)

Buvette et restauration sur place – Tram B arrêt Unitec – Bus de nuit (58) + tram B à la fin des concerts

R-ash & Nikus (ex-Svinkels) :

En 1993, Nikus Pokus 20 ans, commence à rapper avec son acolyte Gérard Baste des Svinkels, à la meme période R-Ash rêve de platines qu’il commencera à manier dès 1996, à l’âge de 11 ans. 21 ans plus tard, dans une after dont seule la nuit parisienne a le secret, Nikus et Ryad décident vers 7h du matin de collaborer pour un projet live et de booker des dates dès Février dans les Alpes et là où on voudra bien les acceuillir .

Vous verrez donc sur scène un DJ 7 fois champion de France DMC, 3 fois vice-champion du monde , plus un mc/beatmaker fort de plus de 500 dates dans les pattes , qui vous chantera les hymnes des fameux Svinkels avec en prime pleins de nouveaux morceaux inédits.

Afro Social Club :

Habitués de la MAC, ils reviennent ! L'Afro Social Club, c'est un groupe de 9 musiciens passionnés d'Afrobeat, le genre musical créé par Mr. Fela Kuti. Il existe depuis trois ans, et a une bonne centaine de concerts à son actif, en France, en Espagne et en Allemagne.
L'Afrobeat constitue le noyau de son répertoire de compositions, mais le groupe a pu tendre l'oreille vers d'autres influences, comme le Highlife ou bien la musique éthiopienne.
Depuis sa naissance, l'Afro Social Club a collaboré avec de nombreux artistes comme Oghene Kologbo (ancien guitariste de Fela Kuti et Africa 70'), ou encore Cheikh Sow, Carlos Cô et bien d'autres.

"Un afrobeat gouleyant pour ce collectif bordelais au groove contagieux" Radio NOVA

Resaka Sonora :

Resaka Sonora est un groupe de Ska-Rock bordelais, fondé en 2011, dans une ville qui malgré sa réputation froide et bourgeoise, a toujours été un vivier créatif dans le milieu alternatif. La Resaka, c'est 7 musiciens, et une volonté de s'inscrire dans cette dynamique de contre-culture, conscientisée et festive. Après un album sorti en 2015, le groupe compte bien faire transpirer son public, et vous donne rendez-vous le 29 janvier ! Hasta la Resaka siempre!

Open-mic :
De 19h15 à 20h45 la scène de la MAC sera laissée aux MCs de Bordeaux et de ses alentours pour qu'ils puissent cracher leur flow sur des prod' hip hop.
L'open mic sera gratuit et participatif pour que chacun puisse goûter au micro.
Ce sera l'occasion de rencontrer d'autres passionnés ou même de découvrir des perles du rap bondissant bordelais. A vous de vous faire remarquer!
Les arrivants pour l'open mic avant 20h30 pourront donc profiter de toute la soirée gratuitement, notamment avec le rappeur (ex-Svinkels) Nikus Pokus.
Notre restauration et notre bière sauront vous réconforter entre deux passages en scène.
A vos cromis!

- OSB IV, POUR UNE CULTURE POLITIQUE ET UNE POLITIQUE CULTURELLE -

 https://www.facebook.com/events/967945209932241/